« Rien n’est juste que ce qui est honnête ;
rien n’est utile que ce qui est juste. »
-
Robespierre, le 9 mai 1791
Il existe beaucoup d'opinions du influence de
Robespierre sur la Révolution française. Certains disent que Robespierre est resté loyal envers la Révolution jusqu'à son mort, alors que d’autres disent
qu’il a trahi la Révolution. Bien qu’il ait fait des choses qu’ont
améliorées la France, les mesures qu’il a pris pour garder son pouvoir étaient
indubitablement une trahison des idéaux de la Révolution.
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« Le
Serment du Jeu de paume » - Jacques-Louis David
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Malgré
l’évidence de sa trahison, il y a ceux qui croient que Robespierre restait
toujours loyal envers la Révolution. Selon l’article de Legrand, la mise en
application d’un système d’éducation publique et du parlementarisme sont des
arguments forts contre la trahison des idéaux révolutionnaires par Robespierre. Elle dit qu’il a
essayé de créer une vie égale pour tous les citoyens de la France.
Bien qu’il y ait ceux qui font référence à l’origine
innocente de Robespierre, on ne peut pas ignorer les atrocités qu’il a commises.
La Terreur, en soi, serait assez des preuves pour prouver la trahison des idées
révolutionnaires. La période sanguinaire, plein de procès
injustes et d'exécutions sommaires, était tout le contraire des idéaux de la
liberté, l’égalité et la fraternité.
En plus, Robespierre a créé le culte de l’être suprême.
Simplement, il a remplacé l’adoration de Dieu, menait par l’église catholique,
par la vénération de la raison. Pendant la fête de l’être suprême, Robespierre
a essayé de devenir lui-même l’objet nouveau d’adoration. En tout cas, il
semble qu’il n’est intéressé plus à l’égalité pour tout le monde.
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La
fête de l’être suprême
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À la fin, Robespierre a trahi les idéaux de la Révolution
française. Même s’il croyait au slogan révolutionnaire, « Liberté,
Egalité, Fraternité », au commencement de la Révolution, il a mort comme
un traître à ces idées. Il n’y a aucune de liberté dans des exécutions
sommaires et sanguinaires de la Terreur. Il n’y a aucune de fraternité dans le
culte de l’être suprême. Pendant sa vie, Robespierre employait la rhétorique de
la Révolution pour servir ses convictions. Par conséquent, il a vraiment trahi des
idéaux de la Révolution française.
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